Retour d'Erpensad

*En milieu de soirée, Envy revient à la tour, tranquille. Un voit, de dos, Quentin assis sur le canapé. Bien. Il fait mine de ne pas le remarquer et monte à sa chambre pour un court instant, histoire de faire semblant qu'i ne sait pas encore*

Quentin, confortablement installé, referme le grimoire qu'il feuilletait en attendant de voir si Envy va redescendre.

*Envy redescent cinq minutes plus tard et vient derrière lui* Quentin ...

Il lève la tête pour le regarder à l'envers, un sourire amusé aux lèvres. "Oui ?"

*Envy glisse ses bras sur les épaules de Quentin, venant caler son menton dans son cou, pour dire d'une voix presque trop calme* Tu es allé dans ma chambre ...

Il répond sur un ton tout aussi calme. "Hmhm.... Et honnêtement, je n'aurais pas dû..."

*Les mains d'envy glissent lentement sur le torse de Quentin* C'est assez vrai ... mais un peu tard ...

Il ferme les yeux, l'air déçu "Je crois que j'aurais préféré ne pas découvrir le violon plutôt que de savoir que tu l'as mais ne jamais t'entendre en jouer"

*Envy s'arrête dans sa descente. Le violon. Il avait oublié le violon* ... Hm. je n'en joue plus.

Il tourne la tête pour le regarder, un sourire en coin. "Même si tu en jouais toujours, je ne m'attends pas à ce que tu joues pour moi..."

*Envy reprend sa descente, ses mains arrivant au pantalon de Quentin. Il ignore le tour que prend la conversation* Ne va plus dans ma chambre en mon absence...

Quentin baisse les yeux vers les mains d'Envy. Il a de plus en plus chaud. "Je n'ai plus besoin d'y aller. J'ai récupéré ce que je voulais. Dis-moi juste... Tu as tout effacé à la gomme ou tu l'a caché avec la magie juste pour m'emmerder ?"

*Envy murmure presque à son oreille, détachant chacun de ses mots, menaçant* Ne va plus dans ma chambre en mon absence .* Il fait sauter le bouton de fermeture du pantalon de Quentin*

Quentin essaie de réprimer son frisson mais trop tard, il se mord la lèvre.

*Envy ouvre le pantalon de Quentin, glissant sa main pour en entourer le membre de Quentin qu'il met à nu, continuant sur le même ton* Tu pensais vraiment t'en sortir sans conséquences?

Par réflexe, Quentin agrippe le poignet d'Envy pour l'éloigner de son entrejambe... Mais une fois qu'il tient son bras, il n'est plus si sur de vouloir l'éloigner.

*Envy a eu le temps de glisser des doigts en crochet sous son membre, menaçant de se refermer sur des parties sensibles* chhhh... laisse toi faire ...

Quentin relâche le bras d'Envy, serrant les dents en fronçant les sourcils. Il ne sait pas trop à quoi pense Envy mais il préfère s'attendre à tout.

*Envy radoucit le contact* Alors vois tu ... tu entres dans mon territoire ... tu deviens mon territoire. *il retire une de ses mains pour aller attraper un large anneau dans sa poche, et vient le mettre sous le nez de Quentin. Une sorte de bracelet, au stylé épuré, aux bord arrondis, couleur argent*

Quentin prend un air méfiant malgré l'excitation qui commence à se faire sentir. "C'est quoi ?"

Hm ... Ton collier ? *il caresse le membre de Quentin du pouce, prêt à resserrer les doigts au moindre geste de ce dernier*

Quentin se mord la levre. Il ne sait pas exactement ce qui l'attend s' il enfile ce collier mais il se doute que ce n'est pas sensé être un cadeau par pure gentillesse. Cela dit... vu sa situation, il est un peu bloqué...

*Envy laisse à nouveau sa main descendre le long du torse de Quentin, son intention sur le "collier" se précisant à mesure que ce dernier se rapproche de son entrejambe...*
* Il dépose un baiser dans le cou de Quentin avant de murmurer*

Attention c'est un peu froid...

* Il glisse l'anneau autour du membre de Quentin*

Le membre de Quentin termine de se raidir instantanément au contact de l'anneau. Quentin a l'impression d'etouffer. Il a envie de se jeter sur Envy sur le champ... Il se fait violence pour ne pas le faire. Il se contente de serrer les poings alors que la chaleur dans son bas ventre empire.

*Envy glisse l'anneau jusqu'à la base du membre de Quentin, et le rétrécit d'une pression des doigts pours l'ajuster à la bonne taille. Il dit avec un sourire en coin, en relâchant sa prise, prêt à se redresser*

Bonne nuit Quentin ...